RELIANCE COACHING Conscience et éveil de soi

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Exigences, vers quoi peuvent-elles mener ?

UNE EXIGENCE, C’EST QUOI, AU JUSTE ?

 

Deux définitions très simples provenant du dictionnaire Trésor de la langue française permettent un premier éclairage :

 

1- Ce que l’on veut impérativement.

2- Ce que l’on attend impérativement de quelqu’un.

 

Derrière une exigence se cache(nt) donc un désir et/ou une attente impérieuse.

Un désir « pressant, auquel on ne peut résister, qui s’impose comme logique, nécessaire ».

Une attente « pressante, à laquelle on ne peut résister, qui s’impose comme logique, nécessaire ».

Nous voyons, d’entrée de jeu, le caractère presque imprescriptible de « l’exigence » qui semble apparaître comme une évidence et qui peut impliquer, d’emblée, plusieurs acteurs : moi et cet(ces) autre(s).

Mais de quel type d’évidence s’agit-il ?

D’une réalité dont le « caractère est immédiatement perçu par les sens et notamment par la vue » ? Ce que je vois, c’est X = Y.

D’une idée dont le « caractère entraîne immédiatement l’assentiment de l’esprit, soit à partir d’un raisonnement, soit à partir de la constatation de faits » ? Sachant que X = Y alors XY = OK.

Ou d’un principe dont le caractère est « indiscutable, est absolument sûr » ?

Ces trois entrées, extraites du dictionnaire Trésor, pointent deux traits significatifs de l’évidence : la perception immédiate et le caractère absolu. Le reste, sensorialité pure ou raisonnement inductif/déductif, relève du processus.

Qu’est-ce à dire ? Vers quoi toute perception immédiate peut-elle nous faire aller ? Vers quoi peut-elle nous faire converger ? Dans quoi tout critère basé sur l’absolu peut-il nous faire entrer ? De quel type de critères s’agit-il ? A quelle(s) valeur(s) répondent-ils ?

 

PERCEPTION IMMÉDIATE | CRITÈRE ABSOLU

 

Prendre une décision, effectuer un pas à caractère absolu revient à figer la décision, le pas en question dans un système fermé sur lui-même comme si ces derniers se suffisaient à eux-mêmes. Or, une décision, quelle qu’elle soit, demande, pour prendre concrétion, pour se réaliser, pour se nourrir et évoluer, un certain nombre de conditions. Les occulter ou se refuser à les prendre en compte peut nous amener à entrevoir la situation sous un angle à 10° au lieu de l’appréhender sous un angle à 180° et à sous ou sur-estimer le contexte dans lequel elle s’intègre. Notre attitude ne peut donc que déboucher sur une certaine forme de rigidité (c’est ça et pas autre chose), nous faire manquer de nuance et surtout, nous enfermer dans un cadre pointant uniquement nos propres attentes et exigences au détriment de ce qui nous permettrait de pouvoir satisfaire notre objectif, autrement dit, les MOYENS.

L’environnement, la situation, le contexte sont dès lors appréhendés uniquement par la perception immédiate que nous pouvons en avoir sans, au préalable, en explorer les différentes facettes pour lister forces, opportunités, menaces et handicaps. La réalité est donc, d’entrée de jeu, biaisée par une approche réductrice qui va, par la suite, conditionner notre positionnement, notre attitude et surtout, nous enjoindre à focaliser notre attention et notre énergie sur des éléments qui ne sont pas forcément porteurs et aidants ou à directement nous projeter et ne focaliser que sur les résultats attendus. Bonjour, Pression ! Comment vas-tu aujourd’hui ? :-).

Pour éviter d’entrer sur un circuit à voie unique, il convient de poser et de se poser certaines questions.

 

ÉCHANTILLON DE QUESTIONS INITIALES À SE POSER

 

Qu’est-ce que ce projet ou objectif représente pour moi ?

Renferme-t-il un enjeu quelconque ? Si oui, de quelle nature ?

En quoi est-ce important pour moi?

Qu’est-ce que ce projet implique-t-il ?

A quoi m’expose-t-il ?

De quoi ai-je besoin pour pouvoir le réaliser?

De quoi je dispose pour pouvoir le réaliser ?

Qu’est-ce qui me manque ?

Que vais-je mettre en œuvre pour pallier ces manques, autrement dit, quels moyens je vais me donner pour satisfaire mon objectif ?

Implique-t-il d’autres acteurs ? Si tel est le cas, quel rôle vais-je leur assigner ? Comment vont-ils intervenir?

Quel temps vais-je me donner ? Ce délai est-il réaliste ? Qu’implique-t-il dans ma vie de tous les jours ?

Sur quels « chantiers » suis-je déjà impliqué et/ou sollicité ?

Suis-je en mesure de mener l’ensemble de front ? Si non, qu’est-ce que je peux revoir à la baisse ou moduler pour permettre à ce nouvel objectif d’éclore, de se matérialiser ?

De quelle manière vais-je me rendre disponible ?

Qu’ai-je à gagner ?

Qu’ai-je à perdre ?

Est-ce réel ou fictif ?

Enfin, une question très simple mais capitale : SUIS-JE PRÊT ?

Si je suis tétanisé par la peur par exemple, il conviendra d’abord de travailler sur cette dernière, de dialoguer avec elle avant d’engager le projet, au risque d’entrer dans un processus de dévalorisation ou de procrastination qui n’est pas franchement utile. S’il me manque des compétences-clé indispensables pour bien pouvoir enclencher le projet en question, il sera peut-être opportun de suivre une formation au préalable. Bref, différents cas de figure peuvent se présenter, aussi, à vous d’étoffer cet échantillon de questions en fonction de votre situation propre. C’est juste une mouture.

 

QUAND L’EXIGENCE EST UN MOTEUR

 

Si les éléments cités ci-dessus sont observés et ce, avec discernement, mon exigence sera motrice et me permettra de me dépasser, de nuancer mon approche, de relativiser, de rester souple face au déroulement du projet et de ne pas me laisser absorber et drainer par des éléments extérieurs artificiels qui ne représentent qu’une façade des illusions qui auraient pu animer mon projet à l’initiale.

Je n’éprouverai pas de difficultés particulières à dire « non » et resterai dans l’ouverture malgré d’éventuelles difficultés et décisions délicates à prendre.

Je resterai flexible quant aux délais que je me suis fixé et n’hésiterai pas à les moduler le cas échéant sans remettre l’intégralité du projet en question et me placer dans un sentiment d’échec. Échec de quoi ? De ne pas avoir réalisé ce projet en X jours/semaines/mois ? Et ? Qu’est-ce qui importe, au final ? De le réaliser parce qu’il reflète des valeurs importantes pour vous, parce qu’il fait écho à une part de vous qui ne demande qu’à s’exprimer, parce qu’il vibre au plus profond de vos entrailles ou de « performer » et de le matérialiser coûte que coûte dans tel ou tel délai ? A quoi cette pression des « délais à tout prix », répond-elle ? Que recherchez-vous exactement ?

 

CLARIFIER INTENTIONS ET MOTIVATIONS

 

Se questionner permet tout simplement de clarifier nos propres intentions, nos motivations et d’en cerner la véritable nature.

Le projet s’inscrit-il et répond-il à des motivations primaires ou secondaires ?

La différence ?

Les premières sont essentielles. Quel que soit le déroulement du projet, je n’en serai pas outre mesure affecté car je le fais essentiellement par plaisir. Je n’y rattache donc aucune attente particulière. Si des critiques surgissent de part et d’autre, idem. Je n’en serai, émotionnellement, pas touché. Ce qui compte, c’est le chemin, pas la destination. Je prends donc du plaisir à y évoluer et suis davantage dans une optique d’apprentissage que de matérialisation impérative pure et dure. Quels que soient les résultats, j’en extrais une leçon.

Les deuxièmes ? Il y a une ou plusieurs attentes qui motivent le projet. Très souvent, un enjeu important est associé. Ce peut-être un besoin de reconnaissance sociale, de valorisation, de (me) prouver ma propre valeur, ou autres du genre. Dans ce deuxième cas de figure, il va sans dire que si ces attentes et besoins ne sont pas directement satisfaits et « entendus » comme tels, mon projet va fortement risquer d’être soumis au rythme des montagnes russes plutôt que de s’inscrire dans une démarche anticipée, réfléchie et jalonnée.

Dans ce deuxième cas de figure, je suis bien plus sensible aux jugements, comportements et attitudes provenant de l’extérieur, lesquels peuvent venir me confondre dans ma démarche et générer, s’ils ne répondent pas à mes attentes et critères personnels, une certaine démotivation voire l’arrêt/abandon du projet. Il est donc capital de s’interroger sur ce qui nous enjoint à entrer dans tel ou tel projet et à ce que nous en attendons véritablement. Le projet en question me sert-il à combler des failles ou à donner naissance à un « quelque chose » qui a de la valeur pour moi, indépendamment de ce que les autres pourraient en penser ?

Je suis le conducteur de mon propre véhicule. C’est donc à moi que revient la tâche de voir comment anticiper au mieux les courbes et les virages serrés auxquels je pourrais avoir à faire face. Et ce peut-être extrêmement « jouissif » que de se rendre maître à bord tout en laissant de la place et de l’espace aux éléments qui pourraient surgir de manière impromptue, autrement dit, à ces intervalles de temps où l’inconnu vient frapper à notre porte nous demandant souplesse, nuance, ouverture d’esprit, relativité, acceptation de ce qui est hors de mon contrôle et curiosité.

 

POINT FOCAL : COMMENT VAIS-JE M’Y PRENDRE ?

 

Ces questions permettent tout simplement de cartographier rapidement la situation dans son contexte et d’en extraire les éléments factuels qui permettent de répondre à la question suivante :

A quoi m’attendre, factuellement ?

A ce moment-là, je peux, en tant qu’individu, me concentrer davantage sur les moyens à mobiliser et à mettre en œuvre pour dérouler le projet par étapes en y adjoignant un plan d’action que j’évaluerai à chaque étape ou jalon du projet. Cette approche permet de « dédramatiser » certains aspects qui peuvent nous échapper tout en restant lucides sur la réalité et y apposer les moyens adéquats pour pouvoir y répondre au mieux tout en respectant son rythme, ses besoins et ses capacités.

Ainsi, la partie relative aux moyens prend le dessus sur les exigences initiales délestant l’individu de pressions inutiles et le ramenant à un cadre davantage ancré dans la réalité. Cela ne signifie aucunement qu’une pression, quelle qu’elle soit, ne se fera pas ressentir. La différence, c’est que chaque pression donnera lieu à une évaluation et prise de recul sur chacun des éléments la motivant pour pouvoir la désamorcer au mieux, voire, dans certains cas de figure, s’en servir comme levier et ainsi, pouvoir s’affranchir de l’impact du culte de la performance et des résultats qui règne dans notre société actuelle.

Car, qu’est-ce que ce culte représente et nourrit dans l’inconscient collectif ?

 

LE CULTE DES RÉSULTATS ET DE LA PERFORMANCE

 

Le dictionnaire Trésor définit le mot « performance » en ces termes :

« Résultat obtenu par un(e) athlète, une équipe dans une épreuve sportive, et p. ext., exploit sportif » ; « Succès remporté par une personne; action, exhibition, interprétation demandant des qualités exceptionnelles » ; « Manifestation publique de ses capacités ».

Ces trois définitions impliquent, à leur lecture, la présence d’un rapport de comparaison d’un résultat par rapport à un autre, soit, d’une situation de compétition. Ce terme renvoie non seulement à un exploit, un record, une prouesse mais également à l’efficacité, la compétitivité, l’accomplissement, le rendement et le succès. Il s’agit d’obtenir les meilleurs résultats en se dépassant au quotidien. La performance suppose, à l’origine, un climat de rude concurrence, dont le sport est le modèle.

Comment la performance, concrètement, se mesure-t-elle ? Par des indicateurs. Comment savoir si les résultats constatés par les indicateurs sont bons ? En comparant avec les autres. Nous sommes ici au coeur même du système de la performance, lequel passe par le tamis de la norme, de l’excellence, de la comparaison car qui dit comparaison dit jugement. Qui dit jugement dit sanction, positive ou négative. Qui dit sanction dit esprit de revanche, rivalité, jalousie, envie, mais aussi culpabilité, pessimisme, désespoir voire dégoût.

Dans bon nombre d’entreprises, c’est encore un esprit de compétition qui règne parmi les collaborateurs à travers la mise en place d’indicateurs de performance qui, au lieu d’impulser un ensemble d’individus vers la réussite finit, sur le long terme, par les décourager, par les démobiliser, en plus de créer une forme de désolidarisation. Il faut plus que jamais « se vendre », prouver sa valeur pour espérer rester en place voire grimper les échelons. C’est à celui qui en fera le plus, le mieux et qui sera le meilleur. Or, il se trouve, selon Alain Ehrenberg, que c’est la compétition qui divise la société française. Car le regard de l’autre est omniprésent dans notre société et la performance se transforme en une évaluation, un jugement de par les résultats qui en sont attendus. Cela prévaut aussi bien pour le monde du travail (variables, bonus, objectifs individuels, primes, entretiens annuels d’évaluation, présentéisme, flexibilité salariale, capacité à être force de proposition et à prendre des initiatives, à faire plus que ce qui est demandé au risque d’être évalué comme un collaborateur médiocre, capacité à se dépasser) que dans la sphère privée (soigner son image, savoir gérer son temps, prioriser ses actions, cultiver son propre bonheur, rester en bonne santé, être un bon parent, rester « zen » en toute circonstance, etc.).

Ce phénomène constitue une pression considérable car, à terme, à trop vouloir forcer sa propre nature pour pouvoir entrer et rester dans le moule, coller à ces règles, à ces normes, à ces conduites, à répondre aux demandes intenables d’un environnement de plus en plus exigeant et mouvant, il s’en est ensuivi le déclenchement de toute une symptomatologie (stress, mal-être, dépression, épuisement professionnel, anxiété aussi dénommés Risques Psycho-Sociaux) propre à « une politique de l’autonomie, c’est-à-dire, une politique centrée justement sur la capacité d’agir des personnes où l’individualisme est cette manière de faire société qui attribue la même valeur à chaque individu, à soi-même comme à un autre, parce que l’égalité fait de tout homme un semblable¹ ». En somme, l’individu est « un agent de son propre changement ». Il lui est mis à disposition des ressources lui permettant de s’améliorer, de fait, il est attendu de ce dernier qu’il prenne en charge son propre développement, qu’il fasse le maximum pour rester performant, pour exceller, et ce, dans de multiples aspects de sa vie. Pour résumer, on attend de lui à ce qu’il soit un « performeur » et à ce qu’il soit multitâche. S’il n’y arrive pas, c’est qu’il manque de volonté et de détermination. Comme le dit l’adage, « qui veut, peut ». Il n’est donc pas fiable et n’est pas digne de confiance. Ce système de compétition ouverte a, ainsi, principalement conféré à rendre les individus plus vulnérables. Or, au-delà d’attendre de ses collaborateurs qu’ils soient performants en toutes circonstances, encore s’agirait-il d’assurer les moyens pour que ces derniers puissent évoluer dans de bonnes conditions et ainsi, pouvoir se dépasser.

C’est dans ce contexte culturel remontant aux années 80 que s’inscrivent aujourd’hui cette idéologie de la réalisation de soi, ce fameux culte de la performance et des résultats qui contribuent à nourrir, à entretenir et à exalter un climat de compétition au sein duquel l’individu tend à agir plus par pur mimétisme et conditionnement que de manière réfléchie. Ce conditionnement tend à se répercuter sur la sphère privée et à entacher tout projet personnel dont la mise en oeuvre tend à davantage répercuter cette figure de l’entrepreneur, elle-même sanctifiée à coups de « Plus de / mieux que ».

Cultiver cette exigence du résultat à tout prix, n’avoir de cesse que de se comparer, c’est accepter un double écueil :

1- Courir le risque de tomber dans la constellation des peurs dont les projections nous asservissent

2- Se placer volontairement entre le marteau et l’enclume.

 

Le projet initial pourrait ainsi devenir, au fil des jours, une sorte de patinoire sur laquelle les principaux acteurs s’y éreintent plus qu’ils n’y évoluent, cristallisant et chargeant la notion de « plaisir » d’exigences découlant d’une idéologie de la réalisation de soi, apportant en son sillon une nouvelle conscience de soi formalisée à travers une triple quête : quête de Soi, quête de sens et quête du bonheur.

 

L’IDÉOLOGIE DE LA RÉALISATION DE SOI

 

Car, comme toute idéologie, cette dernière n’est pas neutre.

Vous êtes-vous demandé, avant d’en suivre les préceptes et de risquer d’en appliquer presqu’aveuglément les fondements, ce que les présupposés de cette nouvelle conscience de soi représentaient véritablement pour vous et ce qu’ils impliquaient par rapport à votre propre vécu et évolution personnelle ?

Vous êtes-vous, au préalable, demandé où vous en étiez, vous-même, sur votre propre cheminement et si vous étiez simplement prêt à entrer dans cet espace de transformations que tout un chacun devrait se donner le droit d’intégrer comme bon lui semble et qui est, pourtant, tellement normé, codifié et aseptisé comme si nous étions tous réductibles à une série de formules censées littéralement « transformer » et « révolutionner », en un éclair, notre vie  ?

Les transformations et mutations actuelles suscitent de multiples interrogations à la fois individuelles et collectives dans un contexte socio-culturel profondément tourné vers le développement personnel. A ce titre, l’industrie du DP est devenue un véritable marché où dérives, abus et discours dogmatiques en tous genres ont élu résidence et  émaillent et pressent notre quotidien.

Aussi, pour en extraire tout le suc, charge à chacun de prendre du recul par rapport à ce phénomène et à lui accorder le crédit qui lui revient avec discernement. Ainsi, ce trop-plein d’exigences général redescendra à son juste niveau d’équilibre, celui qui correspondra à la situation et aux besoins de chacun.

 

¹ Ehrenberg, A. (2010) La société du malaise. Odile Jacob, p.205.

 

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Cette entrée a été publiée le 11/06/2018 par dans Articles, et est taguée , , , , .

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